Quelque261 migrants ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s par les forces de l'ordre jeudi matin Ă Nantes d'un ex-lycĂ©e qu'ils occupaient, aprĂšs avoir Ă©tĂ© expulsĂ©s fin juillet d'un square du centre de Nantes, a-t-on appris auprĂšs de la mairie et de la prĂ©fecture.Les migrants Ă©vacuĂ©s se sont ensuite regroupĂ©s au square d'oĂč ils avaient Ă©tĂ© expulsĂ©s le 23 juillet. Ils y Ă©taient encore en milieu d
Lesport Ă Nantes, câest 60 000 licenciĂ©s et 384 associations sportives bĂ©nĂ©ficiant de plus de 250 Ă©quipements sportifs. AprĂšs la pause estivale, le temps de la reprise est donc arrivĂ©. Le sport retrouve donc en cette rentrĂ©e des associations, clubs et pratiquants. Câest Ă©galement lâoccasion de profiter de trois temps forts qui rythment ce mois de septembre.
Lappel est national, mais il revient aux collectifs, associations et structures locales de déterminer les formes de leur mobilisation. Proposition est cependant faite que, pour favoriser la visibilité nationale, les manifestations et rassemblements se tiennent le 18 décembre à 18h et prennent la forme de marches aux flambeaux et marches aux fumigÚnes (hommage et
Evacuationau coeur de Nantes d'un campement de 450 migrants . Live Challenges. Newsletter Services Magazine membre d'un collectif de soutien aux migrants. "Pour l'instant, la
Lecollectif Soutien migrants Nantes et lâAutre cantine ont rĂ©agi aux propos de la prĂ©fecture recueillis par Presse OcĂ©an ce lundi 17 juin. Ils se dĂ©fendent dâappeler les migrants Ă venir Ă Nantes. AprĂšs lâinterview du secrĂ©taire gĂ©nĂ©ral de la prĂ©fecture publiĂ© dans nos colonnes et sur notre site ce lundi 17 juin sur la situation des migrants qui occupent le gymnase Jeanne
LecortÚge, composé de migrants et de militants, a défilé dans le centre-ville à l'appel du collectif nantais de soutien aux migrants, sous un soleil de plomb. "Nous ne sommes pas d'accord
Tzp8. Le collectif de soutien aux mineurs Ă©trangers isolĂ©s offre de lâaide aux mineurs Ă©trangers isolĂ©s, non pris en charge par la protection de lâenfance. Ces jeunes, souvent orphelins, ont fui des situations insupportables dans leur pays dâorigine. La protection des mineurs rĂ©sidant sur le sol français est un droit constitutionnel. NĂ©anmoins le Conseil DĂ©partemental du Vaucluse, depuis des mois, sâacharne Ă faire ïŹ des rĂšgles de base de la protection de lâenfance. Par souci de maĂźtrise budgĂ©taire, des tests osseux pour dĂ©terminer lâĂąge de ces jeunes sont pratiquĂ©s systĂ©matiquement et uniquement, alors quâune Ă©valuation sociale en plusieurs points devrait ĂȘtre rĂ©alisĂ©e arrĂȘtĂ© du 17/11/2016. Ces tests sont critiquĂ©s sur le plan scientiïŹque marge dâerreur de 2 ans et Ă©thique. Le jeune, Ă©valuĂ© majeur, malgrĂ© les preuves de sa minoritĂ©, est alors mis dehors de la protection de lâenfance. Il est donc abandonnĂ© Ă lui-mĂȘme et laissĂ© dans la rue. Les bĂ©nĂ©voles du collectif les accueillent et se chargent de faire valoir leurs droits trouver un hĂ©bergement, assurer les besoins alimentaires, scolarisation, dĂ©marches juridiquesâŠ. JâadhĂ©re !
Quelque 261 migrants africains se sont rĂ©installĂ©s jeudi dans un square du centre de Nantes, en France, aprĂšs avoir Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s par les forces de l'ordre d'un ex-lycĂ©e qu'ils occupaient. Les "261 migrants qui occupaient illĂ©galement un ancien lycĂ©e, propriĂ©tĂ© de la ville de Nantes, ont Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s ce matin par les forces de l'ordre", a annoncĂ© la prĂ©fecture de Loire-Atlantique ouest, qui a prĂ©cisĂ© que "l'Ă©vacuation s'est dĂ©roulĂ©e sans incident et n'a rencontrĂ© aucune rĂ©sistance". Les migrants Ă©vacuĂ©s, essentiellement originaires du Soudan et d'ĂrythrĂ©e, se sont ensuite regroupĂ©s au square d'oĂč ils avaient Ă©tĂ© expulsĂ©s le 23 juillet. Ils y ont rejoint une centaine d'autres migrants qui y avaient dĂ©jĂ trouvĂ© refuge dĂšs le lendemain decette premiĂšre Ă©vacuation, et y avaient montĂ© une trentaine de tentes. Le 23 juillet, 455 migrants avaient Ă©tĂ© Ă©vacuĂ©s de ce square Ă la demande de la prĂ©fecture. Le campement y Ă©tait installĂ© depuis plus d'un mois, dans une situation sanitaire prĂ©occupante, avec un seul point d'eau et un seul sanitaire. La prĂ©sence derats et des cas de gale avaient Ă©tĂ© signalĂ©s. Les personnes les plus vulnĂ©rables s'Ă©taient alors vues "proposer un hĂ©bergement", selon la ville et d'autres avaient Ă©tĂ© installĂ©es par des associations dans l'ancien lycĂ©e Leloup-Bouhier, "propriĂ©tĂ© de la ville inoccupĂ©e depuis longtemps et ouverte Ă tout vent", explique le collectif de soutien aux migrants de Nantes. A la demande de la mairie de Nantes, l'ex-lycĂ©e a Ă©tĂ© Ă son tour Ă©vacuĂ© jeudi par les forces de l'ordre, aprĂšs le passage d'un huissier lundi venu signifier aux occupants de quitter les lieux. >> Lire aussi Evacuation d'un campement de 450 migrants en France "Il est impossible que le lycĂ©e Leloup-Bouhier, qui fait actuellement l'objet de travaux en vue de sa transformation en Ă©cole, soit occupĂ©", a indiquĂ© dans un communiquĂ© AĂŻcha Bassal, adjointe Ă la mairie de Nantes. "La ville de Nantes doit ouvrir cette nouvelle Ă©cole Ă la rentrĂ©e 2020, les travaux doivent pouvoir se dĂ©rouler selon le calendrier prĂ©vu", a-t-elle ajoutĂ©. Mais "l'expulsion s'est faite sans leur laisser le temps de rĂ©cupĂ©rer leurs effets personnels, ils sont de nouveau Ă la rue sans solution pour ce soir oĂč dormir", a dĂ©plorĂ© François Prochasson, du collectif de soutien aux migrants. Avec AFP
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Un collectif de migrants Ă Marseille Ă dĂ©posĂ© plainte aujourdâhui contre lâaffaire Steve, le jeune qui sâest noyĂ© Ă Nantes lors de la derniĂšre fĂȘte de la musique en juin dernier. Nous souhaitons que notre vĂ©cu soit respectĂ©, nous imiter est une profonde preuve dâirrespect contre ce que nous vivons dans la mer mĂ©diterranĂ©e. Le collectif La justice a Ă©tĂ© saisie par le collectif de migrants noyĂ©s en mĂ©diterranĂ©e afin de dĂ©noncer la copie illĂ©gitime » de lâaction de noyade par le jeune Steve Ă Nantes. DâaprĂšs le porte parole de lâassociation marseillaise imiter les actions des migrants dans la mĂ©diterranĂ©e nâest pas un acte neutre, depuis les dĂ©cĂšs dans la mer du sud, lâaction de noyade est ancrĂ©e dans les tĂȘtes comme Ă©tant une action majoritairement effectuĂ©e par des migrants. » Le prĂ©sident de lâassociation a dĂ©cidĂ© de porter plainte, mais la famille de Steve se dĂ©fend dĂ©jĂ en expliquant que Steve nâest pas tombĂ© dâune embarcation et en plus Steve nâĂ©tait pas Syrien, donc rien Ă voir malgrĂ© la similitude de lâacte de noyade, mais nous nâaccepteront pas que lâacte de noyade soit dĂ©sormais copyrightĂ© par les migrants, câest inacceptable » Une manifestation de soutien aux noyĂ©s non migrants sera organisĂ©e dans la piscine municipale de Notre-Dame des Landes ce samedi Ă 18h, Ă lâappel de la famille de Steve.
collectif de soutien aux migrants nantes